Une petite interview à l’occasion de la sortie de Mishima
Un illustrateur américain peu connu à l’univers souriant et au trait remarquable.
La revue de BD argentine des années 1980 n’a pas à rougir par rapport aux homologues françaises de l’époque.
Mishima avait bien la classe quand même. Un ex-libris pour le prouver.
si vous aimez les guitares dissonantes et les rythmes sautillants comme un écureuil unijambiste au milieu de la quatre voie.
Un homme peut-il se satisfaire d’un fusil ? D’un ennemi ? D’une multitude d’ennemis ? Bleus les ennemis ?
Quelques nouvelles d’aventures du prix Mérimée 1941 illustrées par Beuville.
Les brèves de terrasse sont bien plus intellos que les brèves de comptoir.
Un jeune homme blond, de l’électricité, des envolées et une voix très délicate.
On peut scanner un dessin au trait de manière empirique ou utiliser la méthode de Paul Ace Diamond "Huggy" Blow
Mon nouvel album consacré au célèbre romancier japonais Mishima, sur un scénario de Patrick Weber.
L’Amérique est surtout forte de ses grandes surfaces et des employés qui y travaillent. Plus que de ses missiles nucléaires.
Électroniques, folks, portées par la voix tendue d’Emily Cross.
L’obscurité dans les images de José Segrelles est source d’inspiration.
Benoît Springer se fait plaisir mythologiquement parlant et c’est contagieux.
Des robots ironiques, des blondes aux seins nus, des avions à hélice, bienvenus dans le monde de Waldemar Kazak.
Mishima, une vie à porter des masques et preview.
L’Art ne rend pas obligatoirement très sociable si on en croit Posy Simmonds
Si vous aimez le cul très littéraire et qui n’a pas froid aux yeux
Black et électrique comme l’éclair dans votre salle de bain.
Solférino, morne plaine. Au fait, qui a gagné ?