Série de l’été – Twin Peaks (saison 3)

Une bestiole qui vous rentre dans l’oreille et c’est tout de suite l’explosion atomique.
illustrations, BD, SF et mon travail à moi
Une bestiole qui vous rentre dans l’oreille et c’est tout de suite l’explosion atomique.
Quelque fois, on ne respecte pas l’Histoire du costume. Ça s’appelle « le manque de documentation immédiat »
Les meurtriers créatifs dans la mise en scène des victimes sont-ils des artistes ?
On peut être poli avec les demoiselles.
Le rouge se porte en toutes saisons.
Mélodies ondulantes pour oreilles averties.
La curiosité est un défaut comme un autre.
Une nana, deux nanas, trois nanas… Et je ne dors toujours pas.
Une silhouette dans le ciel, signe de pluie imminente d’après les anciens.
Il fait chaud, elles dansent toutes nues.
Faut-il découper un bonhomme pour réaliser de belles images ?
La méticulosité dans le fantastique pour des images iconiques.
Un crucifié tète en bas et organes en lévitation, ça vous dit ?
Le génie japonais réinvente les codes des couvertures de polars après m’avoir impressionné sur les images science-fiction.
Comment ne pas trahir la beauté littéraire d’un texte ? Sam Weber réussit le tour de force.
Apocalypse naturellement silencieuse.
Le pauvre pue, c’est son malheur et il ne vaut mieux pas le lui dire en face.
Les enfant ne peuvent pas avoir des visions d’ivrogne…
Il y a des bandes dessinées dont la forme l’emporte largement sur le fond. C’est le cas du travail de Charles Forbell.
La gracieuse pop danoise de Lowly se déploie dans leur second LP, Hilafutin.
Un bateau, des jeunes enquêteurs et un Tony
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