Manger de la baleine serait néfaste à la santé de l’élite de certains pays.
Le son exotique normand de Cannibale oscille entre Liverpool et l’Afrique à base de grenouilles coassantes.
Un Premier Ministre qui hésite, un prêtre à la ramasse, un mafieux muet, une petite fille inquiétante, une vieille dame qui attrape les mouches…
De l’énergie brute qui jaillit du pinceaux et qui pourrait remplacer les centrales nucléaires.
Un nouveau prix pour Jésus en BD.
L’année 2019 sera planante ou angoissante…
Le nouvel album de Beuville avec des serpents, des pirates et des complots.
Hoffbauer, peintre des tranchées et de la grande bourgeoisie new-yorkaise.
L’électro énergique de Léonie Pernet vous prend aux jambes et à la tête.
Vous aussi, jouez au Dirdir décadent ou à la princesse bien vénère qui amoke grave grâce au pouvoir du jeu de rôles Tschaï, une planète d’aventures.
Les bestioles cuites en 8 minutes de Moebius enfin rééditées pour ceux qui les avaient loupées.
Des Donald, des Mickey, des coupeurs de tête et des cow-boys en couleurs chatoyantes.
Si vous aimez les mélodies qui se meuvent lentement dans l’obscurité.
Pyotr Pinkisevich méritait bien un second coup de projecteur sur son travail d’illustrateur.
Des chansons douces ou actives, de l’électronique, des instruments tradi, de la bonne musique quoi…
Rien n’est blanc ou noir, tout est gris, même les gros bras et les filles à papa.
Beuville au XVIIIème siècle avec Restif de la Bretonne.
Une magnifique chanson de Bobbie Gentry réinterprétée divinement.
Ma tournée d’adieu de dédicace Guerlain pour 2018-2019. Ou pas d’adieu.
Une couverture alternative pour un polar de Jack Vance de 1967
Deux cavaliers foutent le boxon au Japon et ça donne de l’excellente BD.