La barbe revient à la mode comme le roman autobiographique.
Dix ans, c’est déjà un exploit pour un fanzine et ça se fête… en 1996.
De la pop classique. Mais pas classique comme vous l’entendez.
Quand j’illustre un roman que je n’ai pas lu, c’est du Ti Burce qui ressort.
Cauchemar onirique et surréaliste pour amateur de dessins mous.
Chasseur équipé du fameux fusil Pandanlœil, la crème des fusils.
Mélodies évidentes, vocalises réjouissantes, il n’y a pas d’eau dans le Gaz.
Finalement, même chez les meilleurs il y a du moins bon.
Boom, boom, boom, je suis sombre comme un beat électronique.
De belles images en direct de la planète Encore et de l’ouest de Paris.
Russie éternelle, force des sentiments et machines à laver.
Le ciel est bleu dans la musique de Wye Oak.
Chaleur, fille à la peau caramel, grande gueule tatouée, c’est l’aventure des années 1930 !
L’Écosse, pays du kilt et de la musique farouche.
Les animaux, c’est encore plus mignon en peinture.
Un univers d’horreurs réjouissantes pour l’amateur d’images fortes.
Des bonbons en voiture dans une armoire enfumée.
Pour les amoureux des chiens mais pas que.
Un morceau pour se réveiller le matin avec un bon objectif en tête.
Du Beuville comme s’il en pleuvait en giboulée de printemps.
Et là, le drame, le scanner tombe en panne.