Le Bureau des atrocités (Charles Stross – Robert Laffont)

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Vous adorez les histoires de Chtulu où des Choses Innom­mées se terrent à la limite de notre univers, vous dévorez les histoires de Hellboy avec leurs nazis si prévi­sibles dans leurs obses­sions, préci­pi­tez vous sur les aventures de l’agent britan­nique Bob Howard, infor­ma­ti­cien limite paumé confron­té à une bureau­cra­tie impitoyable, une future ex-petite amie hysté­rique, des coloca­taires allumés, des créatures pleines de tenta­cules, des Irakiens vengeurs, des expériences inédites du III° Reich et une rousse volcanique !!!

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6 commentaires

  1. ”Le Bureau des Atroci­tés” de Charles Stross
    – Charles STROSS a du génie dans sa façon de faire entrer en colli­sion des univers a priori aussi éloignés que celui de la paranoïa aïgue de LOVECRAFT et celui des romans d’espion­nage à la James Hadley CHASE. Il y ajoute même une bonne dose d’humour absurde très britan­nique qui donne tout son sel à la mixture.- 
    Le Cafard Cosmique

  2. Je profite du passage enrichis­sant de Doc Mars pour conseiller, dans un genre paral­lèle qui se rejoint à l’infi­ni, le dernier Tim Powers ”les Puissances de l’Infi­ni” qui est un grand roman fantastique.

    Après avoir fini ce bouquin, il faut que je recon­naisse que la fin m’a un peu déçu (surtout que je pensais qu’il me restait 100 pages à lire) mais c’est un auteur à suivre de près.

  3. Je renché­ri sur Li An, à propos de Tim Powers… On peut toute­fois lui repro­cher, amha, de ne pas utili­ser la fantas­tique richesse et érudi­tion de ses romans (je pense en parti­cu­lier à Sur des Mers Plus Ignorées, Le poids de Son Regard – avec une superbe couv’ de Caza chez J’Ai Lu – et aux Voies d’Anubis)

  4. Non, non, je n’ai pas cette frustra­tion vis à vis de Powers. Il construit un univers très riche en érudi­tion mais il ne cherche pas à faire un roman histo­rique. C’est avant tout du fantas­tique et il le traite de manière cohérente en se concen­trant sur les person­nages et les péripé­ties du récit (on ne demande pas à Steven­son de racon­ter la vie quoti­dienne des marins du dix huitième siècle).

    • J’ai beaucoup aimé ”Les voies d’Anu­bis” qui est un excellent roman d’aven­ture, mais faire remon­ter la magie gitane à l’Égypte antique est d’un ridicule qui affai­blit quand même l’oeuvre, et témoigne de l’incul­ture de son auteur (ou éventuel­le­ment celle qu’il suppose chez ses lecteurs).
      Par contre j’ai adoré ”Le poids de son regard”, qui m’a paru bien plus profond.

      Et puisque vous parlez de ”Sur des mers plus ignorées”, il est quand même bien dommage que sur un thème pareil – et très bien mis en scène – il aie plaqué un système de magie né de la totale absence d’ima­gi­na­tion des améri­cains où tout fonctionne sur un modèle bancaire…

      • Person­nel­le­ment, ça ne me dérange pas qu’il parte de choses un peu gros doigt, tant que ça reste cohérent. Parce que de toute manière, on est dans le fantas­tique débri­dé, ce n’est pas très réaliste.

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