Le cinéma tamoul, c’est quelque chose…

Si vous n’avez pas vu ce truc, vous n’avez rien vu… Ainsi parlait Zarali-an.

Little Super­star

correc­tion : JeanNo me prévient que ce n’est pas du cinéma indien, mais tamoul. J’ai donc corri­gé le titre (je lui fais confiance sur ce genre de choses).

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16 commentaires

  1. Extra­or­di­naire. Dans un genre diffé­rent j’adore Jan Peechan Ho. Contrai­re­ment à ce qui est dit le chanteur qu’on voit n’est pas Moham­med Rafi – qui était bien plus envelop­pé – mais c’est bien lui qu’on entend, et il ne s’agit pas d’un scopi­tone mais de l’intro du film Gumnaam.
    J’aime aussi Dum Maro dum, chanté par Asha Bhosle

  2. Tiens, après vérifi­ca­tion, ce truc bizarre vient d’un film Tamoul (et pas indien) nommé ”Adhisaya Piravi” (1990). Le gamin… Est un adulte qui souffre (avec le sourire) d’un problème de croissance

  3. Comme si on pouvait pas être tamoul et indien. Y a bien des papous papas à poux papas, et des papous pas papas à poux pas papas. N’est-ce pas ?

  4. Ah, j’étais sûr que ça ferait débat. Comment savoir si c’est indien et tamoul ??? J’ai bien fait d’avoir un doute.

  5. Les tamouls sont indiens, bien sûr… (sauf les tamouls du Sri Lanka, mais ils sont bien trop occupés à la guerre pour faire du cinoche)

  6. Mais le cinéma nouillor­kais n’est certai­ne­ment pas holly­woo­dien en tout cas. Il y a plein de cinémas indiens diffé­rents (selon les langues quoi) mais on distingue forte­ment Bolly­wood et Kolly­wood. Je ne peux pas jurer que c’est légitime ou fondé, surtout que je ne connais rien aux natio­na­li­tés indiennes, ni expli­quer pourquoi Satya­jit Ray, qui était benga­li, fait du cinéma indien tandis qu’un tamoul indien fait du cinéma tamoul.
    Si je décidais, ça serait plus simple : il y aurait le cinéma intel­lo-parisien-nombri­lisme d’une part et le cinéma étran­ger auquel on ne comprend rien (Die Hard, Kagemu­sha, les Chtis) d’autre part.

  7. Une contro­verse qui devrait avoir des échos dans les Cahiers du Cinéma. De toute manière, que je mette l’un ou l’autre, ce n’est pas faux…

  8. Je pense que Satya­jit Ray est d’avan­tage consi­dé­ré comme ”indien”, d’une part parce qu’il ne s’est pas fondu dans une indus­trie de studio – comme cela peut être le cas des cinéastes (aussi talen­tueux soient-ils) œuvrant à Mumbai ou Chennai -, d’autre part parce que son cinéma – bien que profon­dé­ment ancré dans la culture de son pays – est résolu­ment univer­sel (j’en veux pour preuve les nombreuses récom­penses inter­na­tio­nales qu’il a reçu)

    Je me permet de remettre ici le lien de Jean-no concer­nant Kolly­wood, mais pointant cette fois vers la page française de Wikipe­dia.

  9. Quand je pense que ce billet va attirer des amateurs de Satya­jit Ray sur ce blog. D’ici à ce que l’on me cause de ce grand metteur en scène en dédicace alors que je n’ai vu aucun film de ce dernier…

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