Benoît Springer se fait plaisir mythologiquement parlant et c’est contagieux.
Une nana, deux nanas, trois nanas… Et je ne dors toujours pas.
Un crucifié tète en bas et organes en lévitation, ça vous dit ?
Comment ne pas trahir la beauté littéraire d’un texte ? Sam Weber réussit le tour de force.
Le ratafia n’empêche pas les décalages temporels.
Une nouvelle virée noir et blanc dans l’imaginaire de Mattotti
Entre l’amour et la dette d’argent, que choisiriez-vous ?
Manger de la baleine serait néfaste à la santé de l’élite de certains pays.
Le nouvel album de Beuville avec des serpents, des pirates et des complots.
Vous aussi, jouez au Dirdir décadent ou à la princesse bien vénère qui amoke grave grâce au pouvoir du jeu de rôles Tschaï, une planète d’aventures.
Les bestioles cuites en 8 minutes de Moebius enfin rééditées pour ceux qui les avaient loupées.
Rien n’est blanc ou noir, tout est gris, même les gros bras et les filles à papa.
Une couverture alternative pour un polar de Jack Vance de 1967
Une comédie enlevée et un poil métaphysique pour les grands qui ont aimé MASH et un certain humour des années 1970.
En avant pour l’Ouest, l’aventure, la piste, les bigots, la mort, le désespoir et les salauds de riches. Chouette.
Au milieu des glaces, on peut décider de son propre destin et sauver Long John Silver.
Vous préférez pouvoir mutiler les gens rien que par la pensée ou voyager à travers les miroirs ?
De belles images en direct de la planète Encore et de l’ouest de Paris.
Chaleur, fille à la peau caramel, grande gueule tatouée, c’est l’aventure des années 1930 !
Dans l’eau noire avec le soleil brillant à minuit, ces fruits arriveront à maturité…
Dans les années 40, Beuville distrayait les petits enfants…