Faith in Strangers – Andy Stott
Il y a des périodes où on ne trouve rien d’excitant à écouter, toutes les nouveautés semblent usées ou anémiques. Et on tombe sur une chronique d’un album qu’on avait vaguement écouté deux ans auparavant, qui semblait pas mal mais pas suffisant. Sauf qu’aujourd’hui, il prend une nouvelle épaisseur, un autre relief. Et on a envie de l’acheter.
Andy Stott fait une musique électronique assez pointue et je n’aime aucun de ses autres albums. Mais il y a dans ce Faith in Strangers une langueur monotone, un frisson qui passe par la voix éthérée d’Alison Skidmore.
C’est John Warsen, sur un de ses excellents blogs (on n’en fait plus des comme ça, ma petite dame), qui m’a fait une piqûre de rappel http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2017/01/andy-stott-faith-in-strangers-2014.html.
Pinaise ji suis tout rouge di confusion. I di plisir aussi. Mais si comme moi ti écris li jour di ripos prescrit par li Seigneur, gare au lumbago !
Je peux aussi programmer des billets, ce qui me permet d’éviter le courroux divin.