En fait signé The Flaming Lips and Stardeath and White Dwarfs with Henry Rollins and Peaches, cet album est une ré-interprétation du fameux Dark Side of The Moon des non moins fameux Pink Floyd. Ce n’est pas mon album préféré du groupe psyché anglais mais comme j’ai beaucoup aimé le dernier ”vrai” album des Flaming Lips (qui contenait des sonorités pink floydiennes déjà), je pouvais difficilement échapper à celui-là. C’est finalement une bonne surprise : l’original passe à la moulinette Flaming, pleine de distorsion et de choses sauvages et il prend (reprend ?) une dimension inquiétante très intéressante.
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