Wall E – studios Pixar

WALL-E Un film d’ani­ma­tion magni­fique. Wall E, le petit robot chargé de nettoyer la planète Terre abandon­née par les humains, se contente de survivre, de collec­ter des objets insolites et de regar­der une vieille comédie musicale. Arrive une créature lisse, mortelle et efficace dont il tombe fou amoureux. Bravo aux studios Pixar de ne pas nous pondre une enième histoire de famille qui s’aime tendre­ment ou de copains prêts pour l’Aven­ture. Nous avons droit à une superbe histoire d’amour (il faut voir ce pauvre Wall E tenter de vivre avec une Eve en mode hiber­na­tion) adossée à un conte écolo­gique tout simple et efficace. Toute la première partie est incroyable de quali­té de décor, de lumière et de mise en scène avec des gags simples et efficaces. La bouche se contente de béer entre deux éclats de rire. Eve est un person­nage ”féminin” très novateur et pas du tout cliché : froide, gaffeuse et obsédée par le règle­ment, on est loin des over princesses genre Jane dans Tarzan de Disney ou des mamans telle­ment parfaites dans (ça y est j’ai oublié le nom) le truc avec une famille de super héros. On remar­que­ra qu’après un hommage à la cuisine française, Pixar propose un rappel écolo­gique. Ces gens là ne doivent pas aimer Bush…
En première partie, un court métrage virtuose très drôle mais presque trop speedé où un lapin affamé se bat contre un magicien au chapeau ”trou de ver”. On n’a pas vraiment le temps de savou­rer tous les gags.
Et on termi­ne­ra par une remarque bien vue de mon fiston : dans un vaisseau à gravi­té artifi­cielle, si vous tournez la barre, il n’y a aucune raison que tout le monde se casse la figure sur le côté.
Bons popcorns à tous.

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54 commentaires

  1. Boaf, moi je n’ai pas lu les critiques comme ça je n’ai pas eu à me prendre la tête. Ce genre de choses, il faut y aller tête baissée ou ne pas y aller (moi, par exemple, je n’ai toujours pas vu Satrapette).

  2. Persé­po­lis est très réussi, parce que c’est l’adap­ta­tion de la BD mais qu’en plus il y a de vrais morceaux de Winsh­luss qui relèvent la sauce.
    Chez Pixar j’ai été agréa­ble­ment surpris par ”Cars” (j’aime tout chez Pixar, mais des voitures…? Et pourtant).

  3. Ah hum, c’est l’adap­ta­tion d’une BD ? Oula. Je comprends mieux mes réticences :-)) (pour tout dire, j’attend de voir si Mme Satra­pi conti­nue­ra à faire de la BD avant de m’enga­ger). En fait, les extraits que j’ai vu m’ont laissé pour mort.

    Et je me rends compte que je n’ai aucune autori­té en la matière puisque je n’ai vu ni Nemo ni Cars (il semblait vraiment nunuche ce dernier).

  4. Juste­ment, Persé­po­lis est un vrai film d’ani­ma­tion, ce n’est pas la bande dessi­née qui bouge, c’est bien autre chose (sans trahir l’esprit). Les extraits diffu­sés sont généra­le­ment ceux qui n’ont pas d’inté­rêt par rapport à la BD (la grand mère qui dit des gros mots,…).
    Nemo est le Pixar qui a eu le plus de succès mais c’est celui que je trouve le moins réussi, les person­nages secon­daires sont un peu négli­gés. En revanche c’est très joli et les tout petits marchent à fond. J’ai bien aimé les Indes­truc­tibles sur le coup mais j’ai tout oublié, je préfère nette­ment ”Le géant de fer” du même Brad Bird (dont je n’ai pas vu Ratatouille). Bizare­ment, Cars est pour les plus grands… Et ne parle pas plus de voitures qui parlent que Bug’s Life parle de fourmis qui causent, évidemment.

  5. Le Géant de Fer m’avait bien plu (je me rappelle l’avoir vu dans une grande salle vide avec mon fiston). Ratatouille valait le dépla­ce­ment au moins pour le thème.
    J’ai oublié de dire que dans Wall E, le compa­gnon est un cafard et ça, c’est du vrai courage…

  6. Oui enfin Cars joue quand même à fond sur la fasci­na­tion mécanique qui habite la psyché améri­caine, et dont les références purement étasu­niennes au Nascar laissent les specta­teurs du reste du monde un peu largués.

    D’accord par contre pour le Géant de fer, chef d’œuvre de Brad Bird période Warner.

    La seul critique négative de Wall‑E que j’aie lue jusqu’à présent, est celle d’Auré­lien Fernc­zi dans téléra­ma, mais qui, n’avan­çant aucun argument pour dire si le film était bon ou pas, se déchaî­nait à expli­quer qu’il ne fallait même pas aller le voir tant c’était du pro-améri­ca­nisme commer­cial politi­que­ment correct gna gna. Ça suintait de préju­gés déplacés.

  7. Alors je n’ai pas de permis, je déteste les voitures, je tords leurs rétro­vi­seurs, leurs antennes et leurs essuie-glace, je crève leurs pneus, et si j’étais coura­geux j’irais balan­cer des briques sur les autoroutes. Je ne me sens pas suspect d’être vendu à General Motors. Et pourtant (ou pour cette raison ?) j’ai tout vu sauf une histoire de voitures dans ”cars”.

  8. Mon papa avait une Simca quand j’étais petit (ce Jean-No fait déraper un blog qui était de haute tenue jusqu’à présent).

  9. Et puis si quelqu’un voulait bien se charger de trans­mettre à Benji-la-malice qu’on s’en fout pas mal que le vaisseau penche ou pas en gravi­ta­tion artifi­cielle ou pas. Dans le même ordre d’idée, je vois pas pourquoi un robot s’énerve à gaspiller son énergie à émettre des sons alors qu’il est tout seul et n’a besoin de commu­ni­quer avec personne. On s’en fout. C’est de la licence poétique. Leave Cindy Sander alone !

  10. Pour voir à l’œil le court métrage en intégra­li­té, il faut suivre le lien chez le pote Hobopok.

    GM, c’est Opel : ça c’est une info qui va passion­ner les lecteurs du blog. Si ça conti­nue, je sens le billet sur Michel Vaillant pour bientôt.

    Hobopok > Elle ne fume pas trop, la 403 ?
    Si elle est dans le même état que celle qui était garée en bas de chez moi jusqu’à récem­ment, il y a quelques petits travaux à prévoir : celle de Colom­bo parait neuve à côté. Euh, je sens qu’on séloigne du sujet…

  11. Je suis super fort pour faire dégéné­rer les sections commen­taires des blogs, mais ça n’est absolu­ment pas exprès. Je suis aux blogs ce que l’inva­sion de crickets est aux champs de blé : encore plus incom­pré­hen­sible que le base-ball.

  12. Et on peut savoir pourquoi tu changes de mail à chaque commen­taire ? Une espèce de perver­sion inconnue ?

  13. Non, j’ai plein d’e-mails, et à chaque fois j’oublie lequel va avec mon ”grava­tar”. Mais bon c’est réglé mainte­nant, ils vont tous.

  14. Mais depuis le début, la force de Pixar, ce n’est pas la 3D (qu’ils connaissent sacré­ment bien), c’est le cinéma : propos, scéna­rio, person­nages… Que du classique. Malgré la technique, Toy Story n’a pas pris une ride.

  15. Pas mal le coup de la gravi­ta­tion artifi­cielle. Pour le langage, si vous êtes un poil obser­va­teur vous remar­que­rez qu’il n’a jamais été vraiment prévu que ce robot soit seul au monde, c’est juste qu’au bout de 700 ans, il ne reste plus que lui parmi tous les wall‑e (gator).

    J’ai toujours pas vu Cars (bumbo bumbo petite automo­bile) mais pour les autres pixar je dois dire que je ne crois pas avoir été jamais déçu. Je suis ptêt un public facile en terme d’ani­ma­tion… Dans Ratatouille, qui est monstrueux, rien qu’en 15 secondes de séquence aquatique dans les égouts, ils enfoncent tout ce qui se fait en 3D à la même époque. C’est beau c’est fluide c’est classe.

  16. Oui, il y a notam­ment tout le boulot fait en amont par leur équipe de graphistes. Il ont bien bossé, les potes à Bill Presing !

  17. Je suis tout à fait d’accord. Les prodiges visuels qu’ils réalisent sont au service de grandes histoires. Toy Story est une histoire magni­fique et magni­fi­que­ment racontée.

  18. Et même le court-métrage Tin Toy n’a pas vieilli (et aussi Luxo Jr et le court métrage avec un bonhomme de neige dans une boule, oublié le titre). À l’époque, la 3D, c’était de faire desz théières qui tournent, mais ces gens là racon­taient quelque chose et ça suffi­sait à trancher complè­te­ment avec le reste. Et de plus ils réflé­chissent bien à la technique tradi­tion­nelle du cinéma : mouve­ments de caméra, choré­gra­phie, gestes, il n’y a jamais eu de fautes de goût ou de fénéan­tise. Très technique Pixar finale­ment, mais pas exclu­si­ve­ment technologique.

  19. J’ai oublié de dire que le bruit de wall‑e qui reboote est celui des vieux imacs et ça c’est un clin d’oeil qui fait plaisir à nous autres les gens qui aiment les macs. Et pixar.

  20. Ahhh, j’en ai à dire sur les Macs (en mode ironique) mais passons. Une référence qui m’est passée complè­te­ment au dessus de la tête…

  21. (Spoiler enfin pas vraiment non plus)

    Est ce que vous avez capté aussi les petites souris dans la décharge du vaisseau ?

  22. Li-An, on dirait que nous avons le même avis sur Persépolis ;-)

    Pour ”Némo”, je ne suis pas trop d’accord avec jean-no sur les person­nages secon­daires négli­gés, ni même le côté ”joli” qui n’est présent qu’au début (et encore, la mère se fait bouffer assez violem­ment si je me souviens bien) ; donc, je te le conseille tout de même forte­ment. D’abord il est très beau, mais surtout c’est une visite guidée de la psychée (souvent inquié­tante) en même temps qu’une leçon de psychia­trie sur les maladies mentales.

    Comme pour le ”Alice” de Disney la part laissée aux enfants est le fil conduc­teur, assez mince, du voyage et des rencontres, le reste est très adulte voire intelo bourré de références.

  23. Perspéo­lis je n’ai pas lu la bd (j’ai pas accro­ché sur Poulets aux prunes alors ça m’a un peu dissua­dé) mais le film est vraiment bien. Notam­ment au niveau image où le graphisme passe bien avec juste quelques petites ombres, c’est plus joli que le livre j’ai envie de dire. :)

  24. @Vasco : ah ben on m’a propo­sé le DVD. Je jette­rai un oeil dessus.

    @Glorg : j’ai bien vu passser des choses dans la décharge mais je n’ai pas fait assez atten­tion semble-t-il…

    @JeanNo : là, j’ai loupé un épisode.

  25. @li-an : non non tu n’as pas loupé d’épi­sode, c’était une vanne parti­cu­liè­re­ment vaseuse. Dans les films de blaxploi­ta­tion, il y a plein de macs (quereaux) donc allusion au mac (intoshes) -> allusion aux films de blaxplotation.
    J’avais dit que c’était vaseux. Je n’avais pas menti. Je tiens toujours mes engagements.

  26. Il faut bien qu’il y ait un respon­sable. Tu me sembles un parfait boucle hémisphère, Jean-No…

  27. ”Eèèèè­veee”. Voilà, c’est fait : vu hier. Je confirme, à consom­mer sans modéra­tion. A revoir pour tout bien voir, tant y a à voir. Un vrai petit bijou à avoir dans sa collect d’anims dés que possible. (N’est-ce pas plus un film pour adultes que pour les petits, au vu des nombreux clins d’oeil et symboles que rateront les plus petits?) Pixar confirme son (ses) talents dans tous les cas.

  28. Je viens de le voir, tiens. J’ai appré­cié. C’est beau, c’est bien fait, la première partie est grandiose. idéolo­gi­que­ment je ne sais pas si c’est vraiment si écolo qu’on le dit par contre.

  29. Un collègue, qui a vu ce film, m’a fait remar­quer que c’était dommage qu’ils aient atten­du le départ de Deube­liou pour lui balan­cer cette claque dans la gueule : coura­geux mais pas téméraires, les écolos de chez Pixar…
    ”Mieux vaut tard que jamais” me direz-vous, les amis ;-)

  30. Les ”ameri­can taliban” ( http://​adult​thought​.ucsd​.edu/​C​u​l​t​u​r​e​_​W​a​r​/​T​h​e​_​A​m​e​r​i​c​a​n​_​T​a​l​i​b​a​n​.​h​tml ) ont vu le film comme une attaque contre eux effec­ti­ve­ment. Pourtant, la morale n’est-elle pas ”on s’en tirera toujours” (nous les améri­cains – car très claire­ment, l’arche des larves est améri­caine à 100%) et ”notre modèle est le top mais il faudrait faire un peu de sport” ? Au fond je trouve le message ambigu.

    @Totoche : la produc­tion d’un film pareil s’étale sur des années (Pixar travaille toujours sur x films en même temps), savaient-ils seule­ment que W serait toujours président quand le film sorti­rait ? Le travail a peut-être avant sa seconde réélection.

  31. ambigu jusqu’à un certain point cher jean-no… « on s’en tirera toujours » est la morale normale de n’importe quel film produit à holly­wood. mais « s’en tirer » de cette manière, c’est quand même une sorte de comble de l’iro­nie. nos joyeux naufra­gés sont partis pour plusieurs centaines d’années dans l’espace (nouvel éden) en atten­dant que le petit jésus nettoie leur planète comme le veut la prophé­tie fonda­men­ta­liste. quand ils reviennent, surprise, c’est aussi crade que quand ils étaient partis. alors oui il va falloir qu’ils se retroussent les manches pour que ça marche, et plus vite que ça.

    la question qui importe à propos du happy end, c’est la suivante : est-ce qu’une pirouette un peu piquante incite­ra davan­tage le public à réagir qu’une fin tragi­co-ironique ? mine de rien, une fin heureuse peut faire passer bien des pilules… mais là-dessus je ne vois pas de réponse simple.

  32. Faut pas exagé­rer. Pixar n’est pas là pour faire de la politique. Combien de dessins animés français long métrage contre la politique de notre vénéré Président à tous, Nicolas Sarko­zy ? On peut juste se réjouir qu’ils fassent passer d’autres messages que les tradi­tion­nels ”la famille c’est chouette” ou ”tu es un préado mal dans ta peau ? T’inquiète, en fait tout le monde t’aime”.
    Pour le côté 100% US, je n’ai rien à redire. Des Français auraient fait le même DA en partant de Paris sous les immon­dices, personne n’aurait ronchon­né en faisant remar­quer qu’il existe aussi l’Inde ou l’Afrique ou la Chine. Et le côté tous ronds dans nos transats est une valeur humaine univer­selle :-) (heureu­se­ment que je n’ai pas fait de billet sur les JO. Dieu m’en préserve).

  33. Pixar fait de la politique à mon avis, en fait chaque Pixar est partiel­le­ment politique (ce en quoi ils se rattachent à la tradi­tion Disney), mais dans le registre du ”way of life” (nourri­ture, vraies valeurs, etc.) plutôt que dans celui de la dénon­cia­tion de telle ou telle vision politique précise. Sur le côté améri­cain, en général ça ne me dérange pas (Cars est hyper améri­cain par ex), mais là, sans dire que ça me dérange ou que ça m’étonne, on voit que dans Wall‑E l’amé­ri­cain est l’ave­nir de l’homme. Mais c’est aussi un film qui dit aux améri­cains de se secouer le gras, voilà où je trouve ça ambigu, ou plutôt ambivalent.

  34. ”on voit que dans Wall‑E l’américain est l’avenir de l’homme.”

    Euuh, je me mêle encore de ce qui ne me regarde pas (je n’ai pas vu le film), mais est ce qu’ils précisent dans le film si ce sont les améri­cains qui ont trans­for­mé la planète en poubelle ?

  35. @Totoche : oui. On voit géogra­phi­que­ment d’où part et où arrive le vaisseau ”arche de noé” (une arche de Noé où on n’aurait fait monter que les limaces), mais ça me semble logique comme améri­ca­no centrisme. En revanche c’est le modèle social à la fois horrible et idylique qui me semble être la logique des USA poussée à bout (mais amputée de ses problèmes sociaux, tout le monde est poli, gentil, et mange quand on lui dit que c’est l’heure)

  36. A force de rester collés devant vos ordis vous aurez bientôt les doigts trop boudi­nés pour piano­ter sur vos claviers.Allons donc passer un petit coup de balai et planter des haricots.

  37. la voie de la raison ! (je vois que je suis pas le seul à me faire spammer tout le weekend sur wall‑e) ;)

  38. Ho là là, comment vous vous prenez tous la tête sur les messages politiques et autres. Si vous avez pris votre pied, vous êtes bien marrés, et avez ressen­ti l’amour des deux zouaves, en regar­dant Wall E, tant mieux. Le reste après on s’en fout (Non?!) Les ricains font un film sur la pollu­tion en Amérique, c’est normal… ils sont ricains ; ils se moquent de leurs obèses, c’est coura­geux ; Ca finit plein d’espoir, pourquoi pas. On peut encore croire en l’huma­ni­té peut-être, sinon autant se flinguer tout de suite…
    Voilà, voilà, respi­rons un grand coup et retour­nons voir Wall E, sans plus se casser la tête, hein :-)
    C’était ma pensée du jour, ou du soir.
    Raoul, t’as raison, mais demain je vais plutôt passer l’aspi.
    (Et votez tous pour Amandine. Ah ben non, c’est vrai, c’est fini.)

  39. @Boyngton : à force de ne pas se prendre la tête, on va finir comme de gros tubes diges­tifs flottants dans un vaisseau spatial :-)

    Il y a des tas de films desti­nés à distraire le public de sa vie quoti­dienne et c’est très bien. Cepen­dant une œuvre ”de masse” n’est jamais neutre, elle véhicule des idées, des clichés, qui marquent durable­ment l’opi­nion. L’affron­te­ment McCain/​Obama semble par exemple direc­te­ment sorti de 24 Heures Chrono, pour citer un exemple éclatant.
    Ici, le film a fait débat d’un point de vue politique, et pas qu’ici sur cette page, il est donc logique de se pencher sur son éventuelle charge politique.

  40. Penchons-nous, penchons-nous donc, tant qu’on le peut encore, la surchage pondé­rale nous guette :-)
    Moi le pop-corn je prends jamais, ça fait du bruit dans les oreilles et on comprend moins bien les messages politiques. Pis c’est vrai que ça fait grossir en plus.

  41. Diété­ti­que­ment, le popcorn est moins un problème que ce qu’on met dessus (sel ou caramel). Enfin d’après mon régime :-) Par contre c’est pénible pour les voisins.

  42. Sans compter que planter du maïs n’est pas parti­cu­liè­re­ment écolo­gique, compte tenu de l’impact sur les nappes phréa­tiques (et hop, je repars l’air du rien sur la théma­tique du film toujours pas vu :-) ), c’est pas classieux ça ? ).

  43. Et puis si quelqu’un voulait bien se charger de trans­mettre a hobopok que seul le vraisem­blable permet d’impo­ser des limites à un film, laisse ta licence poétique ou elle est mon grand. Et vive la sf et la gravi­té artifi­cielle haha.

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