Une leçon de Moebius

moebius-lesson

Une histoire ”authen­tique” que je n’avais jamais enten­due en France et qui semble être devenue légen­daire en Amérique du Nord. Pour plus d’infor­ma­tions sur son origine et ses éventuelles décli­nai­sons, je vous conseille d’aller lire les commen­taires du lien où je l’ai dégottée.

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6 commentaires

  1. Mais a t il ou non dessi­né qqchose sur la feuille ?
    Car ce n’est pas très (trait) clair .
    Etonnant témoi­gnage qui ne m’étonne pas :)

  2. Oui oui (un master­chief). Je mets la version officielle qui est encore plus jolie :

    In the Askwith and Taylor version, the story is narra­ted from the first person and begins : “In the mid-80s I was the manager of the Silver Snail comic shop.” I don’t know if this strip is meant to autobio­gra­phi­cal – and if so, if it truly happe­ned to Mark Askwith – but the Silver Snail is a real comic shop in Toron­to (which paral­lels but doesn’t quite match up with the mention of a “Canadian Comics Show” in the page posted here). The setting is the Silver Snail in 1987, during a signing visit where Moebius is at the comic shop.

    The kid in the Askwith comic is named Matthew. He’s 13 and descri­bed “loyal Moebius fan” with “sophis­ti­ca­ted taste.” Matthew waits in line and gets Moebius to sign a book. Then he waits in line again and asks Moebius to draw a sketch for him. The manager (Askwith?) tells Matthew that he’s asking for too much since Moebius is just there to sign, but Moebius agrees and draws a beauti­ful, intri­cate drawing of a “Starwat­cher.”

    Matthew takes the sketch, gets back in line, and when he gets to the front again, he asks Moebius to ink the drawing. Moebius says, “I will do this.” He picks up a thick black marker and inks the sketch, turning it into a blotchy black mess.

    Moebius says, “I have ruined your drawing.”

    Matthew replies, “I have asked for too much.” He hangs his head.

    Moebius says, ” We have both learned something.” The end.

  3. J’ai une anecdote trés con quant aux dédicaces:La scéne se passe dans la rue;il pleut;une dame inter­pelle une comédienne-theatre-la prie de bien vouloir signer son maigre bout de papier avec son bout de vieux crayon;le résul­tat est un chiffon obscur et humide;la comédienne-gentille-s’en désole;la vieille dame,pas le moins du monde:”C’est pas grave,je le r’copie­rai à la maison”.
    Il me semble que le public étonne­ra toujours,didn’t he?..

  4. @julien : oh non, je la trouve jolie cette histoire : finale­ment, c’est la rencontre qui est impor­tante, pas la signature :-)

    @Raymond : en règle générale, je plante mon dessin quand on en demande trop (et il y a des gens exigeants).

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