Joystick 200

I am the robot
clic

Bon, il faut le recon­naître, si je me suis intéres­sé aux ordis, c’est un peu à cause des jeux vidéos. Du coup, j’ai acheté Joystick le magazine qui en parlait. Et qui a été un moment le magazine le plus drôle que je connais­sois avec toute une bande de joyeux lurons qui déliraient bien (Couly reste pour moi un des meilleurs dessi­na­teurs humoris­tiques du moment). Et puis le syndrome Inrock leur a pris et ils sont allés faire un hebdo… Alala, quel gâchis (mais bon, vous pouvez essayer, ça s’appelle Canard PC). Je suis resté fidèle à Joy (plus simple à gérer dans ma biblio­thèque) et lorsqu’ils ont annon­cé un concours de dessins pour célébrer le numéro 200, mon fiston m’a poussé aux fesses. Il a bien fait puisque un de mes rêves secrets se réalise : je suis publié dans le supplé­ment du numéro 200. Bon, j’aurai peut être dû signer ”Li-An” le dessin :-))

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5 commentaires

  1. Joy(eux) fendage de gueule à l’époque, plus ça mainte­nant ;o(
    Donc tu l’achètes pour ton fiston.
    J’aime beaucoup l’échap­pe­ment de chaleur au ras du gazon, le robot fonctionne-t’il à l’éthanol ?
    Toujours signer son travail, qui sait ce que cela vaudra un jour ?

  2. Enfin le syndrome inrock ne les a pas pris d’un seul coup, c’est après le rachat du magazine par le groupe Future que les journa­listes ont utili­sés leurs droits pour se retirer de la rédac­tion qui à l’évi­dence ne jouirait pas d’une telle liber­té de ton.

    Plus tard ils ont lancé Canard PC au rythme hebdo et depuis quelques temps le magazine est bimensuel.

  3. C’est bon, c’est moi qui ai l’ori­gi­nal :-) À l’étha­nol ? J’avoue que je n’ai pas réflé­chi. Le journal a gardé sa ligne édito­riale tendance rigolarde mais en moins surpre­nant on dira (je conti­nue à l’ache­ter parce que je n’ai pas trouvé mieux. Canard PC ne m’a pas convaincu). 
    Merci pour les complé­ments d’info, ami JK. 

  4. Y a‑t-il un sens caché au décor très post-apoca­lyp­tique dans lequel évolue le bestiau, fort sympa­thique par ailleurs ? 

  5. Par manque d’ima­gi­na­tion totale, je ne conçois les robots géants que dans des cités dévastées… 

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