Comme indiqué dans les News, j’ai passé une partie de l’été à dessiner cette histoire de 7 planches.
Sur un scénario de Philippe Thirault, elle prend place dans un collectif bientôt publié par Delcourt consacré à des histoires vraies d’enfants juifs sauvés pendant la Seconde Guerre Mondiale. C’était un peu ardu à réaliser mais mon professionnalisme réputé m’a permis de dépasser le cadre restreint de… bon, passons. Des couleurs la semaine prochaine.
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Mais .… Je ne vois pas l’Oncle Paul ? ! ?
Pouf pouf (superbe imitation de l’oncle Paul).
Oh, j’ai cru un moment que c’était Philippe Bouvard :-)
Sympa de voir ton crayonné. Sur papier machine, puis la table lumineuse, c’est cela ? Aussi bien les lettres à la main, ça m’énerve… (j’ai de mauvais souvenirs persos de pages de BD faites il y a un bout de temps…)
C’est vrai que ça fait Bouvard… Je vais changer ma façon de fumer la pipe. Là, c’est du crayonné sur papier Schoeller directos et encré dessus. J’ai gardé une trace des crayonnés parce que la madame qui me gère voulait voir à quoi ça ressemblait avant de valider. Le lettrage à la main c’est difficile mais c’est plus plus beau que le lettrage à l’ordo.
Oh oh, il y a donc une inspectrice des travaux presque finis :-) C’est marrant le trait plus soutenu dans le crayonné par endroits. Ca ne pose pas de problèmes au gommage, après encrage ? (Certains noirs sont quand même bien appuyés on dirait, comme les contours du visage de Tsofia en avant-dernière vignette par exemple) (Merci Schoeller, je suppose…)
Oh, non, c’est juste que j’ai contrasté à fond le scan pour que ça soit bien lisible. Le crayonné est plus léger (4B quand même). Mais en effet, ce n’est pas régulier (quelque fois, j’appuie comme une brute).
Comme le projet était très encadré, il fallait avoir le feu vert en effet.
J’aime beaucoup le dynamisme qui émane de la sixième case. Je ne sais pas ce qu’on y joue, mais on dirait que ça swingue.
On y joue une danse quelconque (non, surtout pas du jazz, ce serait hors propos).