Un univers d’horreurs réjouissantes pour l’amateur d’images fortes.
Des bonbons en voiture dans une armoire enfumée.
Du Beuville comme s’il en pleuvait en giboulée de printemps.
Et là, le drame, le scanner tombe en panne.
En 1952, les supporters russes ne poussaient pas des cris de singes sur les terrains de foot.
Si on écarte les jambes de toutes ces jeunes femmes dénudées, on trouve des trésors…
Les cow-boys, les Indiens, les pirates et on ne veut pas de fille !
Un Autrichien halluciné aux visions étonnantes.
Un travail graphique tout en économie et justesse au service d’une propagande déprimante.
Dans les années 40, Beuville distrayait les petits enfants…
Les filles tout en volume, ça me parle grave.
Des jolies filles indomptables, des beaux mecs à la mâchoire carrée et une circulation des couleurs et de la lumière imparable.
Jambes en l’air, seins impeccables et dentelles à tous les étages.
Tif, il a des cheveux ou c’est Tondu ?
Ne touche pas la femme blanche ! Avec Beuville, on peut.
Des filles en robe de cocktail, des couteaux et un clown.
Pas encore le livre ultime sur l’œuvre de Walter Trier mais on s’y approche.
Sobriété et élégance d’un graphiste états-unien qui avait des opinions politiques.
Un survol respectueux de la vie et la carrière du grand illustrateur.
Dans les montagnes du Sud avec Billon et des clowns.
Jean Giraud rend hommage à Harold Von Schmidt… ou pas.