L’intégrale Noriyoshi Ohrai

Le génie japonais réinvente les codes des couvertures de polars après m’avoir impressionné sur les images science-fiction.
illustrations, BD, SF et mon travail à moi
Le génie japonais réinvente les codes des couvertures de polars après m’avoir impressionné sur les images science-fiction.
Un illustrateur touche à tout capable d’images marquantes
Le huit, c’est le signe de l’infini, c’est pour ça les huit tomes.
Le ratafia n’empêche pas les décalages temporels.
On ne s’ennuie jamais dans l’espace
Courir comme un daim, mordre comme un loup, pisser comme un chien.
Stanley Melzoff, des cités ravagées de la SF au bleu des profondeurs de l’océan
La SF cinématographique moderne aurait pu être la fille de Jodorowsky et c’est Lucas qui est passé devant.
Les bestioles cuites en 8 minutes de Moebius enfin rééditées pour ceux qui les avaient loupées.
L’eau, c’est dangereux. Buvez plutôt un truc bien sucré.
Un univers d’horreurs réjouissantes pour l’amateur d’images fortes.
Dans l’eau noire avec le soleil brillant à minuit, ces fruits arriveront à maturité…
Pour les amateurs de série britannique, pour les fans de polars, pour les gamins moyennement sages, pour les gens qui veulent voir Scarlett nue…
Du haut de cette tour, 2000 ans vous contemplent…
Des Dieux mutants qui se foutent sur la gueule avec des poupées voluptueuses ? Non ? Si ?
Dans l’espace, les zombies n’ont pas besoin de crier.
Tuer un réplicant, ce n’est pas tuer.
L’influence de l’absence des paradoxes temporels sur les kermesses de l’époque Victorienne.
Dans l’espace, on préférerait que vous ne criiez pas vos enjeux de société.
Meilleur que Starwars ? Ben, ouai, quelque part…
Infinity 8 (Trondheim, Vatine & Bertail ‑ Rue de Sèvres) Mise à jour du 13/02/2017…
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