Emmanuel Pollaud-Dulian m’annonce la sortie le 8 novembre 2013 de la biographie à paraître chez Cornélius qu’il consacre à Gus Bofa, Gus Bofa, l’enchanteur désenchanté. Un beau bébé de 552 pages avec ”plusieurs centaines de dessins noir et blanc et couleurs” (je veux bien le croire).
Rappelons que le Salon de l’Araignée est prévu, lui, le 15 novembre (cf. ce billet), toujours du même auteur. Pratique pour les séances de dédicace… Mais dangereux pour votre porte-feuilles.
J’en profite pour mettre une image de mon Bofa préféré pour le moment – La Croisière incertaine.
Portefeuille…Bon,mais ”on n’a jamais été aussi près de NOEL,ma bonne dame”…Alors…Toujours un catalogue choisi chez Cornélius;ça a l’air d’être une évidence,hein…
Ça sent bien Nouel en effet. Pour le catalogue Cornélius, je ne dis trop rien puisque ça fait longtemps que je n’ai rien acheté chez eux.
D’ailleurs, le dernier bouquin que tu as acheté chez Cornélius, ce ne serait pas ”La Guerre Cent”, par hasard ?
Il y a de fortes chances, oui. Je n’ai pas été assez bête pour acheter le Blutch, Total Jazz, sans me rendre compte que c’était une réédition comme certains que je connais.
Les heureux festivaliers du BDFil de Lausanne ont récemment eu la chance de voir quelques originaux de Bofa exposés à côtés de ceux de Wazem lors d’une petite expo.
J’ai lu en effet qu’il a réalisé un hommage – un mur peint ?
Avec des trous de serrure pour pouvoir y zyeuter les petites nénettes à poil du Gus !
Râââh, lovely !
Faut être Suisse pour avoir besoin d’une serrure pour se br… s’exciter. Quoique, il paraît que les jeunes femmes n’aiment plus montrer leurs seins sur les plages. Du coup, les Femen deviennent réellement provocatrices !
Bonjour,
Ayant mis huit ans pour réussir à montrer Gus Bofa en Suisse, Je voulais juste préciser que l’hommage de Wazem était une invitation à découvrir des dessins de Bofa sur le thème des rues et fenêtres. Et son ”mur” était une rue grandeur nature, avec une colonne morris et un kiosque, peinte en noir et blanc comme une bande dessinée. Et que les ”trous de serrure” était plutot des vitre cassées, des ouvertures dans lesquelles les dessins appelaient à être regardé. Mlle bambu nue était effectivement dans une poignée de porte car nous trouvions assez drôle de mettre le visiteur dans le rôle de voyeur.…
Je peux vous envoyer une ou deux photos si vous voulez, ou les demander à Emmanuel qui en a reçu copie.
Amicalement
Éh bien oui, montrez une ou deux photos, ça fera plaisir.