La pauvre Marion est bien tourmentée : son dernier amant, le philosophe libertin, l’a quittée, il y a huit jours, en oubliant son subconscient sur le coin de la cheminé. Elle ne sait pas comment s’en débarasser. Elle n’ose pas le jeter, ne sachant pas exactement ce que c’est, et si elle en a le droit.
Ni avertir la police, qu’elle craint comme le diable !
Ni même à en parler à ses voisines, qui ameuteraient tout le quartier.
Avec ça, il fait très chaud, et le subconscient du monsieur commence à sentir fort.
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À la demande générale :-)
Excellent !
Encore- encore scande la foule.
Je conseille à la foule excitée de se procurer ce livre tout à fait disponible en librairie :-)))
La foule envahira les bonnes librairies et exigera, sous peine de pendaison ou étripage immédiats, que le libraire lui remette ”La Croisière incertaine” (Le Seuil) ou ”Malaises” (Cornélius) ou ”Synthèses littéraires et extra-littéraires” (Cornélius) ou ”Slogans” (Cornélius toujours).
La foule visitera aussi le site http://www.gusbofa.com (à but non lucratif) où elle pourra repaître ses mirettes multiples de beaux dessins !
Et merci à Li-An d’avoir cité Gus Bofa !
P.S. : Marcel Schwob, c’est très, très bien aussi !