J’ai parlé d’Illo. il y a peu, passons à son grand frère Illustration magazine. Le numéro présenté ici est le numéro 18 mais vous pouvez d’ore et déjà commander le 19.
Illustration se concentre sur les illustrateurs US des décennies précédentes et chaque numéro fait un focus sur deux artistes en général. Ce numéro 18 est consacré à Allen Anderson (1908 – 1989) et Jack Potter (1927 – 2003).
Anderson s’est spécialisé dans les couvertures de pulps dans les années 40/50 et s’est reconverti dans la publicité (il a fondé un minuscule studio dans un petit patelin) lorsque la demande s’est raréfiée. Son travail est légèrement caricatural et très dynamique.
Potter, après une brillante carrière dans la publicité, s’est reconverti dans l’enseignement (visiblement il ne supportait pas la pression inhérente à son ancien boulot). Son travail, concentré sur le trait, est remarquable par ses compositions soignées et toujours surprenantes (pour moi :-)).
Le magazine a la particularité d’avoir des pages de pub intéressantes puisque la galerie Martignette présente des œuvres en vente.
Le site d’Illustration magazine https://www.theillustratedpress.com/
Merci de faire découvrir toutes ces choses fabuleuses. Je viens de commander !
Quand je pense que je ne touche rien là-dessus… (soupir).
ah oui tu devrais demander une commission, parce que je viens également de le commander !
Bon j’espère que vous n’allez pas le regretter. À noter que Budplant vend des numéros annoncés comme épuisés pour un prix réduit lien mort.
Ce que ça à l’air beau, illustration magazine.…
J’admirais l’illustration de l’Action Stories quand je me suis aperçu que la position de la jambe gauche du cavalier est impossible telle que dessinée.
Enfin peu importe on admire surtout la fille ;o)
Ouais, c’est à cause du bourrin qui est trop petit, ou des personnages qui sont trop grands plutôt, par rapport à l’espace dispo. Le dessinateur aurait pu s’en apercevoir avant l’encrage. Il devait être fatigué, il ne voyait plus rien :-)
Moi je ne dis rien, je dessine les jambes des cavaliers n’importe comment. Il va falloir que je m’applique un peu d’ailleurs. Mais j’aime bien la disproportion des personnages. Ça apporte un côté ”cartoon” très dynamique.