Ivan Jakovlevic Bilibin

drapeau ukraine

Illus­tra­teur russe (1876 – 1942). Les images ci-dessous sont extraites du livre Pitto­ri Di Carta vol.1

bilibine02

bilibine03

bilibine01

Partagez ce contenu

!ABC Pour signaler une erreur ou une faute de français, veuillez sélectionner le texte en question et cliquer sur l’icône R en bas à gauche.

fille boutique fond
fille boutique seule300b

Visit my shop

Illustrations, livres, ex-libris, planches en vente sur ma boutique.

31 commentaires

  1. Ce que j’aime ( outre la quali­té des illus­tra­tions ) c’est le rapport entre la complexi­té du dessin et la simpli­ci­té des expres­sions illustrées …

    • Oui, il y a un travail sur la multi­pli­ca­tion des motifs qui corres­pond à des trucs que j’aime­rai faire en ce moment et que Moeb a beaucoup réutilisé.

      Tiens, au fait, quand est-ce que tu te fais un Grava­tar, Olivier ?

  2. je viens d’apprendre un mot tiens :-)

    donc je me posais la question juste­ment car mon grava­tar ( quel drole de mot )n’appa­rait pas sur ton blog : comment faire pour y remedier ?

  3. Je pense que Ocelot s’est beaucoup inspi­ré de l’illus­tra­tion de cette époque et notam­ment Bilibin pour ce dessin animé. Quand à McKay il était tout à fait dans la lignée graphique.
    tu vois quand tu veux, Olivier :-)

  4. Je savais juste qu’Oce­lot s’ins­pi­rait de l’ani­ma­tion sovié­tique, dont de nombreuses perles sont visibles sur Youtube

    ou encore :

    (je crois me souve­nir que tu en avais parlé quelque part, Li-An)

  5. J’ai eu le même réflexe que Mann, car le premier dessin m’a tout de suite fait penser à McCay. C’est peut être à cause des aplats de couleur, car en y regar­dant de plus près, les détails (ou même les person­nages) sont complè­te­ment différents.

  6. Ce dessi­na­teur n’a-t-il pas illus­tré le Coq d’or ? Je suis presque sûr d’avoir vu des dessins de lui dans une édition bon marché de contes russes qu’on m’avait offerte quand j’étais môme …

  7. C’est fort possible que le Coq d’Or ait réuti­li­sé son travail pour illus­trer des contes. Ou alors c’est un élève :-)

  8. Plutôt que McCay, le premier dessin m’évoque le Chris­tophe de la Famille Fenouillard et du Sapeur Camem­ber (l’iro­nie dans l’atti­tude du person­nage, princi­pa­le­ment) et, de plus loin, Hansi (la basse-cour, l’aspect ”campa­gnard typique”), du moins, le souve­nir que j’ai conser­vé de lointaines lectures de jeunesse.

  9. Ah Hansi, c’est formi­dable ! J’ai juste­ment feuille­té hier un ouvrage qui lui était consa­cré. A quand un billet ?

    Li-an : quand je parlais du ”coq d’or” je songeais plutôt au conte de Pouch­kine (c ;

  10. @Pilaf : peut-être. J’en ai des souve­nirs lointains.

    @Pierre : oulala mais c’est beaucoup trop pointu ce que tu me racontes là, Pierre :-)

  11. J’ai souri en pensant à toi dans la première salle de l’expo Kandis­ky où sont exposées 3 toiles figura­tives de ses débuts, inspi­rées par Bilibine. (Bien évidem­ment, en tant qu’ignare frontal, c’est ce que j’ai préfé­ré dans toute l’expo !).

    Au fait, allez voir Calder à Beaubourg, c’est géant !

  12. Les bateliers de la Volga, la Russie éternelle … Ah ! C’est bien la seule surprise de l’expo­si­tion avec ces dernières toiles abstraites biomor­phistes, peintes quarante ans plus tard. L’avant-garde de Kandins­ky est devenue telle­ment acadé­mique que la succes­sion de ces peintures écrivant héroï­que­ment les grandes pages de l’his­toire de l’art moderne est quelque chose de lassant et décevant pour qui les connais déjà en repro­duc­tion. De toute façon je ne voulais pas aller voir cette expo : j’étais parti voir Henri Rivière mais c’était fermé (n’étant pas fonction­naire munici­pal, je ne m’ima­gi­nais pas, à l’ins­tar de la cinquan­taine de personnes que j’ai vu se casser le nez,). Las, je me suis rabat­tu sur Beaubourg hésitant entre Calder et Kandins­ky, il faut croire que j’ai fait le mauvais choix …

  13. Oui, j’aurai tenté Calder plutôt. Pour le Rivière, comme ce n’est pas un musée il faut faire en effet super gaffe.

  14. Pierre,
    oui Bilibine a bien illus­tré ”le coq d’or” de Pouch­kine (et bien d’autres contes de cet auteur ) dans un style un petit peu diffé­rent, plus gravure, sec et hachu­ré. Et il a aussi travaillé sur l’opé­ra qu’en a tiré Rimsky-Korsa­kov en créant décors et costumes (il a égale­ment ”opéré” pour Borodine, Stravins­ki, Moussorg­ski… en fait c’est devenu son activi­té principale).

    Je trouve effec­ti­ve­ment une simili­tude graphique avec Mac Cay (on est dans l’art déco) et aussi avec les nabis parfois, un peu moins avec Christophe.

  15. Ah j’igno­rais sa carrière en tant que décora­teur de théatre. C’est de l’Art Déco, y a rien à redire à ça :-)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible.