Les belles couvertures du Livre de Poche

Alexis ORLOFF s’intéresse de manière collec­tion­neuse aux couver­tures des livres de poche de toutes les collec­tions. Il a recueilli notam­ment des Livre de Poche des années 1960 aux couver­tures illus­trées et ça a terri­ble­ment bien vieilli. Des images à fort pouvoir d’évocation et d’un graphisme « bien français ».
Il me semble y deviner du Beuville, du Forest et surtout du Fonta­na­ro­sa. Un artiste qui mérite­rait un recueil…

Le Pinte­rest de la chose : https://​www​.pinte​rest​.fr/​a​_​o​r​l​o​f​f​/​d​e​s​i​g​n​-​l​e​-​l​i​v​r​e​-​d​e​-​p​o​c​he/

Le dictionnaire des illustrateurs du Livre de Poche

Jean-Pierre Garcin a rédigé un diction­naire de ces illus­tra­teurs qu’il vend à compte d’auteur. J’ignore s’il lui en reste, mais vous pouvez trouver toutes les infor­ma­tions utiles à ce sujet dans l’article que j’ai consa­cré à ce diction­naire https://​www​.li​-an​.fr/​b​o​u​q​u​i​n​s​/​d​i​c​t​i​o​n​n​a​i​r​e​-​c​o​m​m​e​n​t​e​-​c​o​u​v​e​r​t​u​r​e​s​-​l​i​v​r​e​-​p​o​c​he/

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68 commentaires

  1. C’est vrai qu’ils en ont fait un paquet. Surtout Lucien Fonta­na­ro­sa, qui illus­tra ainsi tous les Céline, Dumas, Berna­nos et autres Heming­way. Georges Beuville en a fait pas mal aussi (ici, Tarta­rin de Taras­con, il me semble). Il est dommage que le Livre de Poche ne crédi­tait pas les illus­tra­teurs de couver­ture. On est obligé de jouer au devinette. A ce sujet, si vous avez une idée du nom de l’artiste qui a fait celle d’ Isabelle de Gide, je suis preneur.

    • Oui, le Tarta­rin est un Beuville. Le Isabelle, c’est diffi­cile : j’ai trouvé la couv complète que j’ai rajou­tée dans l’article et ça pourrait être du Beuville sauf pour les arbres alors…

  2. Je l’avais aussi publiée sur Illus­tra­tion Is Art. Je ne pense pas que ce soit Beuville, la facture n’est pas assez nerveuse, trop hésitante par endroit. Je penche­rais plus pour Daniel Dupuy.

    • Super votre Tumblr d’ailleurs que je suis depuis longtemps (où avez-vous déniché les images signées Beckhoff d’ailleurs ?).

      Je ne connais­sais pas le nom de Daniel Dupuy, je vais creuser. Et je suis d’accord avec vous pour le Isabelle qui ne doit pas être du Beuville.

  3. Ha ! Chez mes parents, je suis tombé sur tout un tas de vieux bouquins des conden­sés du Reader’s Digest des années 50 – 60. Et une amie m’en avait déjà donnés pas mal. Il y a pleins d’illus­tra­tions de grands noms, comme Noel Sickles, Harry Beckhoff, Mitchell Hook, Ed Vebell et j’en passe. Même Notre-Dame de Paris illus­tré par Ron Searle ou Pagnol par Edy Legrand (sans doute unique­ment pour les éditions françaises). Mais les pages pour beaucoup son très jaunies, parfois moisies ; les illus­tra­tions ne sont pas toujours récupé­rables au scan. En tout cas, ça demande un sérieux nettoyage. Les images de Beckhoff viennent de là.
    J’ai aussi fait quelques acqui­si­tions de Legrand, Fonta­na­ro­sa ou Beuville. Il faudra que je scanne tout ça à l’occa­sion, mais l’année devrait être riche sur mon Tumblr ! :)

    • Il va falloir alors que je me dépêche : j’ai plein de Beuville à scanner. En tous les cas, j’espère que vous trouve­rez le temps de scanner ces Reader’s, parti­cu­liè­re­ment pour les artistes français.

  4. Je renvoie les remer­cie­ments aux compliments;et à tout le monde.Jolie bibliothèque,du reste.Mais j’en suis venu à douter du Beuville sur Tartarin…Tous mes vieux poches sont moches.

    • C’est bien avec cette discus­sion, c’est que je découvre le nom de plein d’illustrateurs dont je connais­sais le travail. C’est bien plus pêchu que du Durand, je maintiens le Beuville.

  5. Il me semble que l’avant-dernier ( le lion ) est une étude de Delacroix. ( très belle étude il faut bien le reconnaitre ).

    • Tout à fait, ce qui prouve que Delacroix était assez doué pour faire de bonnes couver­tures pour Le Livre de Poche.

  6. Le Lion, je l’ai trouvé illus­tré par Paul Durand dans les sélec­tions du Readers Digest. Mais je n’ai pas encore récupé­ré le bouquin. Il faudra attendre pour les scans. :)

  7. Bonjour, j’adore ces couver­tures des années 50,60,je suis tombée sur celle du livre ”l’humeur vagabonde” d’Antoine Blondin. En, effet, je n’ai pas trouvé le nom de l’illus­tra­teur. C’est pourquoi Google m’a envoyé ici. Merci.

    • Je serai malheu­reu­se­ment bien en peine de vous aider sur ce coup-là. Ça ne ressemble pas au style des illus­tra­teurs habituels de la collec­tion. Je vais m’amuser à poser la question sur ma page Facebook mais je ne suis pas très optimiste.

      • Ah… Merci ! C’est une édition de 1961, l’illus­tra­tion fait la double page de la couver­ture. Je m’en vais voir votre page fb. Tant que j’y suis, il y en a une autre que j’aime bien aussi, celle du livre de Jules Romains : ”Les copains” . Mais celle-là est signée dans le coin supérieur gauche à l’arrière, je devine un J. Malitès ? Maliles ? Est-ce que ça vous dit quelque chose ?
        Encore merci.

        • Ah ah, vous n’allez pas être déçu, un de mes amis n’a pas du tout aimé la couv du Blondin :-) Mais comme ça il aura honte, bien fait pour lui.

          Pas mieux pour le Jules Romain. Je poste­rai celle-là demain.

          • La couver­ture de Les copains est de Jean-Denis Malclès. Décora­teur de théâtre qui a illus­tré nombre de LDP de pièces de théâtre, justement.

  8. Bonjour,
    Bravo et merci pour ces somptueuses couvertures !
    Sauriez-vous à tout hasard (vous semblez être assez experts) de qui pourrait être la couver­ture du roman Les fruits de Congo de Vialatte ? Je la trouve assez surpre­nante, et très intrigante…
    Merci !!

    • Il s’agit de Georges Alary, humoriste et dessi­na­teur qui a créé ”l’homme d’Ala­ry”. Il a dessi­né cette couver­ture en tant que grand ami de Vialatte.

  9. Certaines couver­tures sont signées.
    Par exemple ”Le rempart des béguines” est signé en bas à droite ”Marianne Prulé” (ou Poilé???). Mais on en trouve aucune mention de l’artiste sur Google

    Il faudrait inter­ro­ger les éditions du Livre de pOche pour en savoir plus.

    • Vous avez raison. En général, on retrouve l’artiste par sa signa­ture (ou éventuel­le­ment une monogra­phie). Mais je crois que vous faites fausse route en ce qui concerne Le Livre de Poche. À moins de chercher dans leurs archives (si elles existent encore), on ne peut pas s’attendre à grand chose de leur part. Ils ne s’intéressent absolu­ment pas à ce genre de choses. Il faudrait qu’un histo­rien obtienne l’autorisation d’accéder aux archives.

      • Les archives du LDP peuvent être consul­tées à l’IMEC (Insti­tut Mémoires de l’Édition Contem­po­raine, Abbaye d’Ardenne, 14280 Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, http://​www​.imec​-archives​.com créé à l’initiative de chercheurs et de profes­sion­nels de l’édition et qui rassemble, préserve et met en valeur des fonds d’archives et d’études consa­crés aux diffé­rentes maisons d’édition). MAis atten­tion, c’est Fort Knox. IL faut être accré­di­té pour y entrer !

    • Il s’agit de Marianne Padé qui a seule­ment illus­tré ce Poche N° 1031 sorti en juillet 1963. Elle est connue en tant qu’illus­tra­trice de livres pour enfants.

      • Merci pour vos nombreuses préci­sions, je vais complé­ter ce billet quand les fêtes seront passées. Quel est le titre du numéro 1301 ?

        Préci­sion de M.Pintogabi :

        Le 1031 est Le Rempart des Béguines de Françoise Mallet-Joris. Pas le 1301 comme dans votre message. 

  10. Merci de ces précisions

    Il est vraiment dommage qu’on n’en sache pas plus sur ces illus­tra­teurs des années 50 à 70. Certaines illus­tra­tions sont excel­lentes. A mon avis le LDP en a fait de bien supérieures à Folio.
    Du reste, par son format, sa typo, et la colora­tion des tranches, le LDP m’a toujours davan­tage plu que Folio.
    Si les cartons origi­naux des illus­tra­tions sont en vente on aimerait même en acheter (si ce n’est pas trop cher).
    On retrouve le style de diffé­rents illustrateurs.
    Il serait intéres­sant de faire un classe­ment des couver­tures par illustrateur.

    • M. Pinto­ga­bi qui est inter­ve­nu avec beaucoup d’autorité sur le sujet travaille sur un recen­se­ment de ces couver­tures et artistes. Ces artistes ont tous eu une carrière en tant qu’illustrateur ou peintre (ou auteur BD dans le cas de Forest). Les couver­tures ne sont donc pas trouvables en tant que couver­ture mais en tant qu’œuvre à part entière. Mais, pour le moment, je n’ai pas croisé une de ces couver­tures en vente. J’imagine que des collec­tion­neurs ont dû en acqué­rir à l’époque.

    • Les origi­naux sont pour la plupart à l’IMEC, (Insti­tut Mémoires de l’Édi­tion Contem­po­raine) à Saint Germain la Blanche Herbe dans le Calva­dos. On n’y rentre que sur l’accré­di­ta­tion d’un déposant et la consul­ta­tion des archives est très sévère­ment règle­men­tée. On y trouve des centaines d’ori­gi­naux des couver­tures du Poche. On peut aussi trouver quelques origi­naux chez certains illus­tra­teurs encore vivants, ou chez leurs descen­dants. Extrè­me­ment rare dans le commerce. Depuis 10 ans que je recherche autour des illus­tra­teurs du Poche, je n’ai pu acqué­rir, et vraiment après beaucoup de chance, qu’un seul origi­nal, celui du n° 39, Le Chant de Berna­dette (gouache de Félix Lacroix). Cher !

      • Mais comment se fait-il qu’ils soient rassem­blés ? Les origi­naux n’étaient pas rendus aux artistes ? Un collec­tion­neur a tout rassemblé ?

        • Les origi­naux sont rassem­blés pour beaucoup à l’IMEC car ils appar­tiennent en fait au groupe Hachette-Le LIvre de Poche qui y a fait un dépôt de ses archives, comme de nombreux autres éditeurs.

  11. Bonjour à tous,
    J’ai réuni une collec­tion des 1000 premiers livres de poche de la LGF, mais unique­ment les romans sous cartouche noir ”Le Livre de Poche”, c’est-à-dire pas les classiques, policiers, et autres.
    J’ai donc 522 livres repré­sen­tant 641 numéros, en général dans leur première édition.
    Car ce qui m’inté­resse vraiment, c’est leur couver­ture dont je m’emploie à identi­fier l’auteur.
    Je bute actuel­le­ment sur des signa­tures illisibles dont votre érudit, M. Pinto­ga­bi, saura peut-être me donner la clef !
    Par exemple qui est l’illustrateur/​trice du n° 31 – 32 ”Contre­point” d’Aldous Huxley dont on distingue une vague signa­ture en bas à droite de la couv. 1, qui ressemble à ”elisa­beth” ?
    Et celui ou celle du n° 273 – 274 où la fin de la signa­ture (…ONADO ou …ONARO) dépasse de sous le cartouche en bas à gauche de la couv 1 ?
    Merci d’avance et bravo pour cet excellent blog !

    • Espérons que M. Pinto­ga­bi répon­dra à votre appel. Sinon, j’essaierai de le contacter.

    • Bonjour ! La couver­ture du LDP n°10 me fait penser aux illus­tra­tions du journal Détec­tive dont Angelo di Marco était l’auteur. Qu’en pensez-vous ?

      • Vous voulez parler des Mains sales de Sartre, j’imagine. Le problème de di Marco, c’est qu’il n’a pas un style très marqué. Son réalisme en grisaille est très utili­sé à l’époque par de nombreux artistes – notam­ment italiens. di Marco n’est pas recen­sé dans le diction­naire des illus­tra­teurs de Jean-Pierre Garcin.

        • En effet, je valide Di marco pour le poche Les mains sales de Sartre. Bravo pour cette sugges­tion de Billault. Ce sera donc l’objet d’un ajout à la prochaine version de mon Diction­naire des Illus­tra­teurs du LDP.

  12. Voici le texte sur Joana­do dans mon Diction­naire des Illus­tra­teurs du Livre de Poche en cours de réédac­tion. Même mon stage de 10 jours à l’IMEC où j’ai pu exami­ner plusieurs centaines de dessins origi­naux des couver­tures du Livre de Poche ne m’a pas permis d’en savoir plus sur cet illus­tra­teur. Mais je suis preneur de toute information.

    ”Le serpent à plumes qui a précé­dé de seule­ment deux ans le plus sulfu­reux des romans de Lawrence n’a rien à lui envier et annonce parfai­te­ment ce dernier. Cette superbe couver­ture qui nous rappelle imman­qua­ble­ment la chanson de Marcel Amont avec son mexicain basané et son sombre­ro en guise de parasol, nous apprend qu’elle a été dessi­née par un certain Joana­do dont on devine le nom en partie caché par le logo du LDP. L’ambiance est là, et rendue avec une telle écono­mie de moyens ! Mais c’est tout. Introu­vable, notre Joana­do. Pas de biogra­phie, nulle part. ”

    • Merci pour cette réponse rapide. D’ailleurs votre réponse me rassure quant à la quali­té de mes recherches : bien qu’ayant passé des heures à chercher partout où je pouvais, je n’ai jamais trouvé parce que … il n’y avait rien à trouver si on n’était pas l’heu­reux posses­seur d’un exemplaire du Diction­naire des Illus­tra­teurs du Livre de Poche !

  13. Pour ce qui concerne le poche de Huxley, je n’ai pas eu l’ori­gi­nal en mains et ce qu’on peut voir de la signa­ture n’est pas assez expli­cite. On pourrait lire aussi ”isabel …”.
    Le style fait penser à Félix Lacroix ou Étienne Lage.

    • Merci de votre réponse.
      Effec­ti­ve­ment le style des 2 illus­tra­teurs cités est semblable. Mais dans les 2 cas la signa­ture est très différente …
      Je ne connais pas Félix Lacroix. Serait-ce le ”F.L” illus­tra­teur des livres de poche suivants :
      37 – 38 Philippe Hériat La Famille Boussardel
      52 – 53 Mazo De la Roche Les Whiteoaks de Jalna

      Idem, est-ce que votre Etienne Lage est le même que le Lage illus­tra­teur des livres de poche suivants :
      90 – 91 André Maurois Les Silences du Colonel Bramble
      59 – 60 Louis Aragon Les Cloches de Bale
      176 Virgi­nia Woolf Mrs Dalloway
      290 Roger Vercel Au Large d’Eden
      64 A.J. Cronin Sous le Regard des Etoiles

      Merci encore !

  14. J’apporte de l’eau au moulin. Les couver­tures de Mort à Crédit et du Voyages au bout de la nuit sont égale­ment de Fonta­na­ro­sa. Celle de l’Atlan­tide est de Forest, qui je le signale au passage, s’écrit avec un seul ”r”. :)
    Je ne suis pas surpris que l’édi­teur ne rendait pas les origi­naux aux auteurs. C’est une autre époque… où il y avait peu de consi­dé­ra­tions pour ses œuvres. En BD, par exemple, chez Dupuis, ils nettoyaient les rotatives avec des planches déjà publiées (comme Lucky Luke, par exemple.) Je le tiens d’Yvan Delporte. Ça fait rêver…

    • Complé­té et corri­gé. Merci beaucoup. 

      Dans la série horri­bi­lis, un auteur d’une maison d’édition où avait été publié Joubert m’a racon­té des feux de joies d’originaux qui traînaient depuis des décen­nies dans les réserves.

    • Les origi­naux que l’on peut consul­ter à l’IMEC sont ceux du fonds Hachette, donc LGF, donc Livre de Poche. LDP gardait les dessins après les avoir achetés aux artistes et Hachette devenait par le fait proprié­taire des droits à l’image et pouvait réuti­li­ser la même oeuvre pour plusieurs couver­tures des réédi­tions succes­sives. De plus, il faut comprendre que les oeuvres orginales, gouaches, peintures à l’huile, collages … passaient systé­ma­ti­que­ment entre les mains du Studio artis­tique de LGF qui recadrait, utili­sait tout ou partie de la surface, au risque de faire dispa­raître la signa­ture ‑quand il y en avait une – de la couver­ture défini­tive. Ensuite le montage final, après qu’on y eut apposé le titre du livre peint à la main quand l’artiste n’en était pas capable, puis le logo, parfois même en cachant tout ou partie de la signa­ture, LGF n’en avait rien à f…, passait par la photo­com­po­si­tion. L’artiste était depuis longtemps repar­ti avec son billet de 500 f.
      Il faudra attendre plusieurs années pour que l’illus­tra­teur soit cité en 4ème de couv.

      • Je comprends mieux. En plus, beaucoup de ces artistes avaient une carrière de peintre à côté et j’imagine qu’ils ne consi­dé­raient pas ces couver­tures comme leur travail le plus important.

  15. Les deux. Pour chaque illus­tra­teur, quand les infor­ma­tions existent, il y a quelques lignes ou paragraphes de biogra­phie, quelques oeuvres connexes de l’artiste sont citées et parfois illus­trées, plus la liste des LDP illus­trés (auteur, titre, N°, date de sortie), et des repro­duc­tions de couver­tures. (Pas toutes !) Le tout avec quelques commentaires.

  16. J’ai commén­cé voilà un an une collec­tion des Livres de Poche des années 1953 à 1970 pour la beauté de leurs couver­tures. Et égale­ment la série des 100 premiers numéros. Existe-t-il un ouvrage ”histo­rique” qui retra­ce­rait le travail des illus­tra­teurs et des éditeurs ?

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