L’Odyssée d’Homère par Sir William Russell Flint

Sir William Russell Flint (1880 – 1969) est un artiste écossais connu pour la quali­té de ses aquarelles pleine de couleurs ensoleillées. Visible­ment, il a termi­né sa carrière en peignant moultes demoi­selles désha­billées, un grand classique pour les peintres figura­tifs du XX° siècle semble-t-il… Quoiqu’il en soit, The Picto­rial Art propose les repro­duc­tions de ses illus­tra­tions pour l’Odys­sée et ça vaut le déplacement.

gaffe, il est tout nu

il faudrait du 44

on n'est jamais tranquille à la plage

Partagez ce contenu

!ABC Pour signaler une erreur ou une faute de français, veuillez sélectionner le texte en question et cliquer sur l’icône R en bas à gauche.

fille boutique fond
fille boutique seule300b

Visit my shop

Illustrations, livres, ex-libris, planches en vente sur ma boutique.

2 commentaires

  1. A LIRE ABSOLUMENT !

    « Questions Homériques ». Un recueil de presque 1200 pages de commen­taires les plus intéres­sants sur l’œuvre d’Homère, princi­pa­le­ment orien­tés vers le sens physique et théolo­gique de ses poèmes.

    Des commen­taires tout à fait inédits, et aussi variés que les époques dont ils sont issus, Cornu­tus, Héraclite, Plutarque, Porphyre ou Proclus le Diadoque, Eustathe, Tzetzès, Matthieu d’Éphèse, Chris­tophe Canto­léon, Hypolite de Rome, et Michel Psellos, sans oublier l’exégèse alchi­miques avec P. le Bon, O. Borri­chius, J. Braces­co, L. Cattiaux, J. Chartier, J. Chrysippe Fanien, A. Cnoef­fel, C. Della Rivie­ra, J. Dorat, R. Duval, J. d’Espagnet, Fabre du Bosquet, Géber, Claude Germain, Th. De Hoghe­lande, J. Isaac de Hollande, Frère Homerus, G. Johnson, D. Lagneau, H. de Lintaut, Pseudo‑R. Lulle, M. Maïer, G. Mennens, J. De Monte-Snyder, Orthe­lius, Panta­léon, Paracelse, A.-j. Perne­ty, J. Pic de la Miran­dole, J. Reuchlin, Servius, J. De Sponde, B. Valen­tin, Th. Vaughan, B. de Vigenère, Denis Zachaire et Emmanuel d’Hooghvorst.

    » En emprun­tant à Porphyre, pour intitu­ler ce flori­lège, l’expression « questions homériques », nous enten­dons lui rendre son titre de noblesse. Il ne s’agit pas tant de savoir si l’Iliade et l’Odyssée sont l’œuvre d’un seul poète ou de plusieurs, ni si le nom d’Homère s’applique à un person­nage histo­ri­que­ment existant ou non, que de perce­voir l’intention de l’auteur dans tel vers ou tel passage. »

    Traduc­tion de Hans van Kasteel, éminent philo­logue et spécia­liste en langues anciennes.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise des cookies pour vous offrir la meilleure expérience possible.