L’ampleur des images de Stanley Meltzoff

Stanley Meltzoff (1917 – 2006) est un illus­tra­teur états-unien qui a travaillé pour les magazines et les éditeurs de science-fiction (je connais­sais son nom par ses couver­tures de romans) et qui a rebon­di dans la peinture anima­lière sous-marine lorsque le marché de l’illustration s’est tari (pour info, ses collègues se sont tourné vers la peinture western ou la litté­ra­ture à l’eau de rose).
Son travail classique est carac­té­ri­sé par une grande ampli­tude, très peu commune à une époque où on cherchait à simpli­fier de manière la plus efficace possible à coups de gros plans coups de poings. Ses couver­tures de science fiction montrent souvent des foules en mouve­ment avec un talent pictu­ral impres­sion­nant. J’ai été assez surpris de décou­vrir sa seconde carrière pour lequel il est visible­ment plus connu désormais.

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Le peuple élu
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crouitch
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on savait se battre à l’époque
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la preuve
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c’est pour une étude
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le gars modeste
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Play it again, Sam
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une vue imprenable
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un clin d’œil à nos amis réunionnais
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un extrait intéres­sant du Faucon Maltais
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plongée dans l’espace
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Qui a éteint la lumière ?
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Je sens que ça va bien ruisseler
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le printemps arrive
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Conrad, le roi de la gaudriole
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4 commentaires

  1. C’est fasci­nant, comment, en exécu­tant des commandes sur des sujets bien balisés avec une technique on ne peut plus classique, il arrive quand même à surprendre en traitant chaque fois son sujet de façon un peu décalée.

    • Je n’ai pas mis beaucoup de ses travaux persos que l’on peut voir sur son site mais il peut aller vers le grotesque.

    • Son Cœur des ténèbres est quand même croqui­gno­let mais j’imagine qu’il y avait des consignes éditoriales.

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